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Faire de la recherche

La thèse

Les thèses des doctorants au CRIA sont réalisées dans des délais de l’ordre de 3 à 5 ans et sont financées par des bourses, allocations ou conventions CIFRE. Les conventions CIFRE, qui associent autour d’un projet de recherche devant mener à la soutenance d’une thèse, un doctorant, une entreprise, un laboratoire de recherche, sont devenues un mode de financement répandu. Parmi les entreprises partenaires de thèses réalisées au CRIA, on peut citer : France Initiative, la SNCF, l’IAU-idf, etc. Le CRIA se distingue par une proportion forte de doctorants recrutés dans les collectivités territoriales, entreprises ou à l’université dans les deux ou trois années qui suivent la soutenance.

 
Exemples de thèses en cours au laboratoire de doctorant·es originaires du master Aménagement et Urbanisme
  • BONTÉ Milan, « Transidentités et espaces publics urbains : négocier un accès à la ville à Paris et à Londres ». Direction : Nadine Cattan.

  • DELAVILLE Damien, « Accessibilités et mobilités dans les espaces d’urbanisation dispersée : le cas de la métropole parisienne ». Direction : Nadine Cattan/Antoine Bres.

  • HERCULE Clara, « Ancrages des entrepreneurs dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville ». Direction : Sylvie Fol/Isabelle Géneau de Lamarlière.

  • LEHEC Elisabeth, « L’acteur-habitant et l’éco-citoyen : quelles nouvelles pratiques du service public territorial ? De l’ordure au déchet, les techniques urbaines en question ». Direction : Sabine Barles  et Romain Lajarge.

  • LE ROUZIC Vincent, « La ville abordable. Recomposition de l’action publique autour des dispositifs innovants d’accession sociale à la propriété ». Direction : Natacha Aveline

  • MONDAIN Marie, « Les organismes HLM dans les territoires en décroissance urbaine, stratégies et rôles dans l’adaptation des politiques publiques locales ». Direction : Sylvie Fol et Yohan Miot

  • THEBAULT Emma, « L’ingénierie urbaine de l’eau bousculée par les impératifs environnementaux : transformation de l’inscription de la métropole parisienne dans son bassin-versant, années 1970-années 2000 ». Direction : Sabine Barles.

  • VIANA Eugênia, « Les acteurs métropolitains et les inégalités d’accès aux ressources urbaines : une approche comparative des périphéries métropolitaines à Lille et à Belo Horizonte (Brésil) ». Direction : Renaud Le Goix.

  • VERHAEGHE Laetitia, « Vers une recomposition des relations ville-campagne ?. Direction : Antoine Bres et Sabine Barles.

 
Les thèses primées soutenues par des doctorant·es du laboratoire originaires du master Aménagement et Urbanisme
  • Prix spécial du prix de thèse sur la ville (2016) (prix APERAU, PUCA, Institut pour la Recherche CDC) à Paul Citron, pour sa thèse “Les promoteurs immobiliers dans les projets urbains. Enjeux, mécanismes et conséquences d’une production urbaine intégrée en zone dense”, sous la direction de Sylvie Fol.

  • Prix de thèse sur la ville (2015) à Sophie Buhnik pour sa thèse « Métropole de l’endroit et métropole de l’envers, décroissance urbaine, vieillissement et mobilité dans les périphéries de l’aire métropolitaine d’Osaka, Japon », sous la direction de Natacha Aveline et Sylvie Fol.



  • Prix de l’article scientifique décerné par l’Union Sociale pour l’Habitat et la CDC (2017) à Matthieu Gimat pour un article sur la VEFA co-écrit avec Julie Pollard et paru dans la revue Géographie, Economie et Société. Il s’inspire de son travail de thèse : « Produire le logement social. Hausse de la construction, changements institutionnels et mutations de l’intervention publique en faveur des HLM (2004-2014) ».

  • Prix Aydalot (2015) attribué ex-aequo à Sophie Buhnik pour sa thèse « Métropole de l’endroit et métropole de l’envers, décroissance urbaine, vieillissement et mobilité dans les périphéries de l’aire métropolitaine d’Osaka, Japon » et à Mathieu Drevelle pour sa thèse intitulée « Desservir les faibles densités par les transports collectifs routiers : des réseaux aux prises avec le territoire », sous la direction de Francis Beaucire.

  • Prix Louis Gruel et prix de l'Observatoire de la Vie Etudiante (2016) décernés à Leïla Frouillou pour sa thèse intitulée  » Les mécanismes d’une ségrégation universitaire francilienne : carte universitaire et sens du placement étudiant », sous la direction de Sylvie Fol.

  • Prix de thèse 2010 de la Chancellerie des Universités de Paris (Fond Schneider) attribué à Maude Sainteville pour la thèse : « Structuration, organisation et territorialisation de l’espace économique par l’activité boursière, ses flux et ses réseaux », sous la direction de Gabriel Dupuy.

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